Maxence dans son atelier.

1989 Hugo Maxence, de son vrai nom Maxence Diogon, naît en Auvergne (63).

2003 Intégration de l’équipe du fanzine de bande dessinée Clermontois : “ Le Bulletin ” des éditions La Machine à Rêver. Publications de premières planches et premières dédicaces en festivals.

2007 Création de son agence de communication D’Art-Win à 18 ans. Rapidement il remporte des appels d’offres : CROUS, Mutualité Française, ClaireFontaine… Ces expériences lui permettent d’approfondir ses connaissances en graphisme, comme le sens des couleurs et du cadrage.


2011 Découverte de la peinture grâce à sa toute première passion : la musique.

Première peinture. 54x65cm.

Lors d’une audition de piano où il interprète une sonate de Beethoven, Maxence souhaite remettre le compositeur au centre de l’attention en exposant son portrait.
Plutôt que de faire un portrait au crayon, il décide de s’essayer à la peinture.

Ce tableau est le premier d’une série de portraits « Premiers Regards » grâce auxquels le jeune autodidacte perfectionne sa technique.

Il innove, élabore le premier portrait luminescent au monde, invente le filisme et pose les bases de l’ « Art Renouveau ».

Toujours la même année, il est côté à DROUOT et son prénom figure depuis dans le Larousse des Artistes Contemporains.

2014 Il mène de front salons, expositions, gestion de son agence et poursuite d’études universitaires. Contraint par un grave souci de santé, il doit interrompre et ses activités artistiques, professionnelles et son master II.

A la suite de cet arrêt forcé, doublé d’un long parcours médical, naît “ Fourmine Bonne Mine ” livre pour enfants destiné aux services pédiatriques..

2020 Enfin en état de reprendre son chemin brutalement interrompu, il décide de ranger ses diplômes dans un tiroir et se consacre à l’Art.

Maxence vit aujourd’hui en Normandie (14).